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Robert Greenberger
par Robert Greenberger
Comme le montre les premières pages du renouvellement de DC en mai, Wally West est une figure majeure du multivers et a été parce qu’il a hérité du manteau de l’homme le plus rapide vivant de Barry Allen. Dans les années 1980, il a été le flash et toute une génération a grandi dans ses aventures gracieuseté de Mike Baron, William Messner-Loebs puis Mark Waid.
Le Flash par Mark Waid Book One
Se faire licencier par DC a peut-être été la meilleure réinstallation de profession de Mark, car elle l’a finalement mis sur la voie de devenir l’un des nombreux écrivains polyvalents et créatifs de notre industrie. Tout a commencé lorsque le rédacteur en chef Brian Augustyn l’a engagé pour prendre le contrôle du titre de Scarlet Speedster et qu’il n’a jamais regardé en arrière. DC reconnaît cette époque avec la sortie du Flash par Mark Waid Book One, y compris le Flash # 62-68, le Flash Annual # 4-5 et le Flash Special # 1.
“Honnêtement, le défi a été de trouver ma propre voix et de re-flacer le personnage”, m’a dit Waid en mai. «Vous ne trouverez personne dans des bandes dessinées qui sont un plus grand fan que moi de William Messner-Loebs, mais lui et moi méthode les affectations différemment, et son flash était vraiment un livre d’ensemble. J’étais (suis) beaucoup plus à l’aise de me concentrer sur un personnage, de creuser vraiment, puis de développer lentement le casting à partir de là. »
Flash # 62
Waid a soigneusement lancé les choses avec une histoire en quatre parties d’une année qui a exploré les premiers jours où Wally a gagné une super-vitesse et a dû changer ses plans pour l’avenir. Illustré par l’équipe régulière de Greg Larocque et Jose Marzan, Jr., il a préparé le terrain.
Cela lui a également acheté quatre mois pour considérer où prendre la série en temps réel. «Chaque fois que je reprends une série avec des personnages que je n’ai pas créés, mon travail consiste à les fouiller et à comprendre quelles parties de moi sont en eux, quels points de vue ils ont sur le monde que je peux écrire parce que Je les partage. Avec Wally, notre point commun était que nous avions tous les deux grandi avec l’occasion chanceuse de transformer notre fanboy intérieur en notre carrière réelle. Tout ce que Wally voulait faire en grandissant était d’être un flash. Tout ce que j’ai toujours voulu faire, c’était vraiment dans la bande dessinée. C’est pourquoi mon Wally n’a jamais essayé de trouver un «travail de jour» – si vous pourriez être le flash, pourquoi voudriez-vous perdre du temps à faire autre chose? »
Flash # 68
Après un remplissage illustré par Mike Collins et Roy Richardson, avec Aquaman avec des invités, Waid nous a montré où la série choisissait un solide deux parties utilisant Abra Kadabra de longue date. «Garçon, vraiment, tout ce que nous voulions faire était de raconter de bonnes histoires et d’honorer les géants (Broome, Fox, Bates, Schwartz) sur les épaules de qui nous étions. Chaque mois, nous parlons du prochain script à venir et faisons un jeu à partir de «Pouvez-vous en tête» avec des virages choquants et des moments drôles de personnages. Et si vous aimez quelque chose à propos de cette course flash, tous les crédits font rapport à Brian. Il a toujours été le co-pllotteur non crédité, et il en a fait une joie », a ajouté Waid.
Flash Annual # 4
Il y a également deux histoires de lien, la première de Waverider annuelle n ° 4 avec le point focal de l’événement de croisement Armageddon 2001. Celui-ci a été dessiné par Craig Brasfield et Andrew Pepoy. Un an plus tard, l’univers DC se battait contre Eclipso alors que chaque personnage confronté l’obscurité à l’intérieur et dans le n ° 5 annuel, Waid a apporté beaucoup de mal sous la forme de Golden Glider, Chillblaine, Trickster, Weather Wizard et Captain Boomerang. L’art de Travis Charest et Dan Davis est exceptionnel.
The Flash Special # 1
Pour compléter la collection, le Flash Special qui se vantait d’une couverture de Joe Kubert et de plusieurs histoires encadrées par le Flash Flash du 27e siècle qui remonte à temps pour contacter Jay Garrick, Barry Allen et Wally West. L’écrivain JSA, Len Strazweski, a rejoint Waid in the Fun In the Fun dans une histoire de Garrick tirée par l’équipe formidable d’Irv Novick et Dick Giordano. Dans une suggestion du chapeau à l’âge de l’argent, Gerry Jones s’est associé à Carmine Infantino et Joe Rubinstein alors que Barry a dû arrêter le professeur Fallout. Messner-Loebs est retourné dans le monde de Wally, accompagné de Grant Miehm et Tim Dzon alors qu’il s’occupait de Manfred Mota, un ennemi apparemment imparable. Tout a culminé dans le dernier chapitre de Waid, Mike Parobeck et Jose Marzan Jr. comme Fox combat Mota. Le spécial a été complété, bien sûr, avec des faits flash, de Waid et Paris Cullins.
“Avec le recul, je pense que je suis le plus fier du fait que nous n’avons jamais succombé au cynisme (qui, selon les mots d’Abe Simpson et je sais que vous me soutenez à ce sujet) était le style à l’époque”, a déclaré Waid. “Il y avait parfois des pressions sur nous pour” devenir plus sombre “ou changer le statu quo juste pour okose, mais Brian était notre pare-feu, et bien que Flash ait été le livre le plus vendu de DC, grâce à lui, c’était toujours honnête.”
Le ton optimiste de la série CW a commencé ici et ces histoires résistent bien.
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The Flash by Mark Waid Book 1 SC